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16 avril 2021 | 16 min de lecture

Heures sup' : Copenhagen Collected

Découvrez comment Alva Mac Gowan, archéologue indépendante et amoureuse du vintage, donne la priorité à la qualité et au recyclage dans sa boutique.

Avatar image for Katy Svehaug par Katy Svehaug
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Vous voulez ouvrir votre propre boutique Etsy ? Créez la vôtre aujourd'hui !

Remarque de l'éditeur : Le 22 avril, c'est le Jour de la Terre ! Pour fêter dignement cet événement, nous avons rencontré Alva Mac Gowan, qui s'est spécialisée dans le vintage. Elle nous a expliqué comment elle parvient à conjuguer le développement durable et la gestion d'une boutique, qu'il s'agisse de dénicher des articles de deuxième main ou de recycler les matériaux d'emballage.

C'est en 2007 qu'Alva Mac Gowan a vu pour la première fois le navire historique qui, quelques années plus tard, la pousserait à ouvrir un nouveau chapitre de sa vie, s'installer dans un autre pays et commencer une activité créative. En compagnie de 100 000 autres habitants de Dublin, elle a assisté à l'arrivée du Sea Stallion of Glendalough, un bateau viking long de 30 mètres récemment reconstruit. Venu du Danemark, le navire avait longé les côtes d'Écosse et d'Angleterre pendant 7 jours avant d'atteindre Dublin. Alva a toujours aimé l'art et l'histoire. Elle se rappelle que « ...cet après-midi-là, l'atmosphère était indescriptible. » Archéologue indépendante, elle a apprécié à sa juste valeur la qualité du travail de reconstruction, qui lui a remémoré le temps où elle étudiait l'histoire de l'art et l'archéologie à l'université.

Neuf ans plus tard, après avoir saisi sa chance de devenir l'un des 60 membres de l'équipage danois du Sea Stallion, elle partait voguer sur les eaux de Scandinavie. C'était une grande première pour elle, qui n'avait aucune expérience en navigation, mais elle était prête pour une nouvelle aventure qui alimenterait sa créativité. « J'adore l'rlande, mais pendant presque toute ma vie d'adulte, l'idée de m'installer dans un autre pays ne m'a jamais vraiment quittée, ni l'envie de parler une autre langue que la mienne et de découvrir une autre culture », explique Alva.

« Cette expérience a été déterminante. Nous avons appris à travailler ensemble, à prendre soin les uns des autres et à laisser le vent nous porter. »

« Et c'est cela qui m'a fait comprendre que le Danemark était fait pour moi », affirme Alva. « Dans ce pays, la culture me donnait l'espace dont j'avais besoin pour être moi-même, et c'est comme ça que j'ai quitté Dublin pour m'installer à Copenhague. » En 2018, Alva a ouvert sa boutique Etsy, Copenhagen Collected, où elle propose différentes pièces vintage. Avec plus de 200 ventes, elle est fière de son stylisme photo harmonieux. Elle fait la part belle au storytelling, en se servant de ses connaissances en histoire de l'art pour faire des recherches sur chaque article qu'elle propose. « Je suis archéologue, donc j'ai passé la plus grande partie de ma carrière à étudier la vie de personnes disparues depuis longtemps », précise Alva. « C'est une spécialité qui vous fait voir la vie à travers un prisme très particulier. »

Dans cet article, vous allez découvrir comment les passions créatives d'Alva se recoupent avec son travail d'archéologue et de vendeuse vintage.

Du point de vue professionnel, ton parcours créatif est impressionnant. Est-ce que tu peux nous le retracer ?

Je n'ai jamais aimé l'école. J'aimais l'art, mais les mathématiques sont toujours restées un mystère pour moi. On ne prenait pas au sérieux ceux qui voulaient se diriger vers une carrière créative, donc j'ai mis ça de côté et quand j'ai quitté l'école, je suis allée directement étudier l'histoire de l'art et l'archéologie à l'université.

Mon diplôme en poche, j'ai fait un stage comme guide à la National Gallery of Ireland et depuis, j'ai participé à différents chantiers de fouilles et programmes archéologiques. Pendant les (nombreuses !) périodes de creux entre deux projets, j'ai voyagé et exploré ce qui m'intéresse sur le plan créatif, c'est-à-dire la photographie, l'art, la musique, la poterie et le stylisme.

Comment en es-tu arrivée à vendre du vintage ? Qu'est-ce que tu préfères dans cette expérience ?

Quand je suis arrivée à Copenhague, je n'avais pas beaucoup d'argent, donc c'était assez logique que j'achète des choses d'occasion. Et puis le vintage, j'ai toujours aimé ça. Il faut être très patient pour dénicher des choses intéressantes, mais à force de fréquenter les boutiques spécialisées, j'ai appris à les repérer.

Maintenant, je fais mon archéologue : je creuse et j'ouvre l'œil pour trouver des trésors cachés.

Ici, on dit que les choses d'occasion valent de l'or (Genbrug er guld, en danois). C'est vraiment dans la culture des Danois d'acheter d'occasion, tout le monde aime ça. Du coup, il y a de quoi faire ! C'est bien pour les étudiants et les familles qui ont un petit budget, et puis ça évite aussi que les décharges se remplissent de ce qu'on ne veut plus mais qui peut servir à quelqu'un d'autre. Il y a moins de demande de nouveaux produits et les gens peuvent gagner un peu d'argent en revendant certaines choses.

À force de fréquenter ces boutiques, j'ai eu l'idée d'ouvrir la mienne sur Etsy. Ça faisait des années que j'achetais des objets vintage sur Etsy, c'est une plate-forme que j'aime beaucoup et l'audience globale fait qu'on a tout de suite une visibilité incroyable. Parmi mes amis, quelqu'un m'a dit un jour que Copenhagen Collected était un merveilleux moyen de mettre mes compétences en action. Maintenant, je fais mon archéologue : je creuse et j'ouvre l'œil pour trouver des trésors cachés.

« Je pense que la source de la créativité se trouve tout au fond de nous, et que nous devons la nourrir continuellement avec ce qui nous inspire », explique Alva. « Si je n'avais pas exploré ma créativité, je n'aurais pas eu assez confiance en moi et la façon dont je voyais ma boutique Etsy n'aurait pas été aussi précise. »

J'aimerais beaucoup que tu nous parles de ton activité d'archéologue, que tu nous dises en quoi ça consiste. Les principales caractéristiques, bien sûr.

L'archéologie a des points communs avec la gestion d'une entreprise. Il faut avoir plusieurs cordes à son arc, parce qu'il faut creuser, mais aussi dessiner et photographier des artefacts dans le cadre d'un programme archéologique. Je travaille également sur des rapports d'expert et des catalogues.

J'ai eu la chance de participer à des fouilles dans des lieux somptueux, comme les Orcades au nord-est de l'Écosse, une île grecque nommée Cythère ou encore une île déserte irlandaise, dans l'Atlantique, Inishark. L'été dernier, j'ai travaillé dans le nord-ouest de l'Islande, sur un campement de pêche créé par les premiers habitants de la région, aux IXe et Xe siècles.

J'ai surtout participé à des fouilles sur des sites urbains à Dublin et Copenhague. Une de mes expériences les plus intéressantes a été Rathfarnham Castle, dans le comté de Dublin. Nous avons sorti plus de 17 000 artefacts d'une fosse datant de la fin du XVIIe. C'est une période de l'Histoire qui est vraiment passionnante. Le monde s'ouvrait grâce aux progrès de la navigation et les produits exotiques étaient très recherchés. C'était le début de la société de consommation, et nous avons trouvé plein de choses que nous utilisons encore aujourd'hui, comme des brosses à dent, du thé, du café, des chaussures modernes et des bouteilles de vin en verre. (Ici, une vidéo qui retrace en détail les découvertes réalisées par Alva et son équipe à Rathfarnham Castle.)

Sur le chantier, nous avons trouvé des objets venant de pays parfois très lointains, comme la Chine, la Colombie et la Bolivie. Nous avons même trouvé une peau de banane bien conservée malgré ses 300 ans ! Les habitants du château menaient la grande vie, enchaînant les fêtes et étalant largement leur richesse devant leurs convives. Heureusement pour nous, archéologues, ils se débarrassaient de leurs déchets dans une fosse qu'ils ont ensuite recouverte d'une dalle de pierre, sous une tour, avant de l'oublier. Pour nous, c'est une véritable fenêtre ouverte sur le passé.

En haut : Alva pose avec une brosse à dents en os datant du XIXe siècle, trouvée sur un chantier de fouilles archéologiques à Dublin. Ci-dessous, un des dessins d'Alva, représentant une fibule médiévale.

Tu peux nous parler un peu de ton espace de travail et de la façon dont tu photographies les nouveaux articles de ta boutique ?

Je travaille chez moi. Mon stock est rangé dans une pièce à part, dans les combles de mon immeuble. Si mon activité continue à se développer, j'espère pouvoir louer un atelier. Pour moi, l'harmonie est essentielle. Dans mon appartement, il y a un mur blanc entièrement vide qui me sert d'arrière-plan. Quand je fais des photos, je suis toujours habillée de la même façon, j'utilise les mêmes accessoires et j'essaie même de travailler avec une lumière identique. Ça donne un côté professionnel qui permet au regard de mieux analyser l'image. (Je porte un pull irlandais traditionnel, comme un clin d'œil à mes racines, avec un pantalon en velours rose pour rester dans des teintes neutres.)

Dès le début, j'ai décidé d'utiliser mon reflex numérique professionnel, un Nikon D750, pour photographier mes produits. Ça prend plus de temps mais ça en vaut vraiment la peine, parce que les images ont un vrai relief.

Comme j'aime bien me photographier avec l'objet dans les mains, j'utilise un trépied et un minuteur. Je suis plutôt perfectionniste, donc ça peut être long, le temps que tout soit bien à sa place, avec la bonne mise au point, la bonne lumière et rien qui vienne polluer le champ. L'objet doit être la première chose qu'on remarque, alors je cherche comment le présenter pour que l'acheteur éventuel voit sa forme, sa taille et comprenne à quoi il sert. De temps en temps, je m'amuse un peu. On m'aperçoit à travers l'objet ou au contraire je cache ma tête derrière. La photographie numérique est vraiment un cadeau des dieux !

En haut : Étagère triangulaire « Amager Hylde » traditionnelle, introduite au Danemark par les colons hollandais au XVIIIe siècle. Elle servait à présenter des bibelots et des objets auxquels on était particulièrement attaché. En bas : Porte-toast en teck et laiton datant des années 50.

Évidemment, je passe beaucoup de temps à chercher des objets intéressants. Je raconte tout ce que j'ai découvert sur chacun d'eux dans la fiche produit. Je trouve que ça ajoute à son intérêt. Après tout, toutes ces histoires méritent d'être connues ! C'est un travail qui me prend un temps fou, parce que je cherche des informations partout où je peux.

Quelle place donnes-tu au développement durable dans ton activité ? Est-ce que c'est quelque chose dont tu tiens compte, autrement que dans ton choix d'objets ?

Effectivement, comme je vends des objets d'occasion, c'est une forme de recyclage. J'achète aussi beaucoup de choses dans des boutiques qui soutiennent des causes importantes, j'ai l'impression d'être un peu utile. Bien sûr, c'est une démarche axée sur l'envie de dépenser moins, mais ça va bien au-delà : l'idée principale est de limiter les déchets et la demande !

Chaque fois que je peux, je recycle aussi les matériaux d'emballage. Dans mon immeuble, il y a un endroit prévu pour le tri et le recyclage. C'est là que je récupère des cartons, des matériaux en plastique comme le film à bulles et des journaux. Ça me sert pour caler les pièces fragiles en verre ou en céramique. Je ne les prends que s'ils sont parfaitement propres et je n'ai pas peur de farfouiller pour trouver mon bonheur.

Avec le COVID, le nombre de cartons a augmenté, parce que la plupart des gens font leurs achats en ligne. Quand j'en trouve, je récupère les plus beaux et je les stocke au grenier, comme ça j'ai ce qu'il me faut quand je reçois une commande. Mes voisins doivent penser que je suis un peu folle !

Un pot émaillé de la marque danoise Glud & Marstrand qu'Alva emballe soigneusement avant de l'expédier en Australie.

Quel type de relation entretiens-tu avec tes acheteurs ? Tu as une anecdote particulièrement mémorable ?

Sur Etsy, j'ai eu des échanges vraiment agréables avec mes clients. Je ne m'y attendais pas quand j'ai ouvert ma boutique. En fait, c'est une expérience très personnelle pour le vendeur et l'acheteur, et j'apprécie beaucoup ça.

Dans mes clients américains, il y en a beaucoup qui ont des origines danoises et qui me racontent que leurs grands-parents ou même leurs parents utilisaient ce genre d'objets, et ça me fait un plaisir fou !

Je n'aurais jamais cru que j'aurais l'impression de faire entrer un peu de joie chez mes clients, mais c'est ce qui se passe.

Par exemple, une cliente m'a envoyé du miel et de la cire d'abeille de ses ruches depuis la Nouvelle-Zélande. Elle m'avait acheté un seau à glace vintage et nous avions échangé pas mal de messages sur le design danois. Et puis il y a ce monsieur, qui avait remarqué un grand saladier en céramique et qui avait envie de l'offrir à son épouse, parce qu'elle avait parlé de se mettre à la pâtisserie dès qu'elle serait à la retraite. Il avait juste besoin d'être rassuré sur son choix ! Après l'avoir offert, il m'a envoyé un adorable message pour me remercier et me raconter que sa femme avait adoré l'objet !

C'est ce genre d'expérience qui me donne envie de continuer. Quand on travaille seul, on en a besoin. Ça nous rappelle qu'on est sur la bonne voie.

Quand tu as ouvert ta boutique, est-ce que tu as eu des difficultés particulières ? Comment les as-tu réglées ? Qu'est-ce qui a fonctionné, ou pas ?

Au début, j'avais du mal à fixer les prix. J'essayais de définir des prix compétitifs par rapport aux objets similaires qu'on pouvait trouver dans d'autres boutiques, de ne pas les dépasser et même d'être en dessous. Et puis quelqu'un m'a dit que la gestion de ma boutique me prenait vraiment beaucoup de temps et que je devais intégrer ce temps dans mes frais.

J'ai additionné le prix d'achat des objets à mes frais Etsy, et j'ai réalisé qu'il ne me restait pas grand-chose effectivement. Si je voulais que ma boutique dure, il fallait que j'augmente mes prix. Alors c'est ce que j'ai fait, et j'ai aussi commencé à investir dans des pièces plus chères, sur lesquelles je pourrais avoir une marge plus importante. Et ça a très bien fonctionné. Deux ans plus tard, mes bénéfices ont été multipliés par quatre par rapport à l'année précédente.

Au tout début, certains objets sont arrivés cassés chez les clients. Je les ai intégralement remboursés et j'ai fait beaucoup de recherches sur la façon d'emballer les objets fragiles avant de les expédier. On trouve plein de vidéos sur YouTube et ce n'est pas la peine de dépenser des fortunes en matériaux d'emballage, parce qu'on peut pratiquement tout trouver chez soi. Parfois, je passe presque une heure à emballer une commande. Ce n'est pas très drôle, mais je ne peux pas faire autrement !

J'ai aussi modifié mes options d'expédition, pour qu'il y ait un suivi sur tout ce que j'expédie. Ça nous évite des soucis, à mes clients et à moi, surtout en cas de gros retard comme au début de la pandémie.

Vase Baca vintage créé par Nils Thorsson pour Royal Copenhagen

Est-ce qu'il y a des outils ou des techniques que tu recommanderais aux nouveaux vendeurs ?

Je consulte souvent les statistiques pour suivre le trafic dans ma boutique et comparer mes ventes avec l'année précédente. C'est grâce à ça que j'ai vu que le nombre de vues augmente nettement quand je mets de nouvelles fiches produits en ligne. J'ai appris qu'il valait mieux échelonner régulièrement les mises en ligne, plutôt que de tout faire en bloc. Comme ça, les gens voient qu'il y a du mouvement dans votre boutique. En plus, s'ils ont mis votre boutique dans leurs favoris, ils sont avertis chaque fois que vous mettez un nouvel article en vente.

Il faut penser à utiliser tous les tags et essayer de publier autant de photos qu'on peut. J'ai commencé aussi à mettre des vidéos dans mes fiches produits, c'est facile et c'est efficace quand les photos ne font pas justice à certaines pièces.

Pour conclure, est-ce que tu dirais que ton travail d'archéologue te sert pour ta boutique ?

Je suis archéologue dans l'âme, il faut toujours que je trouve des informations sur ce que je vends. Et puis c'est très excitant, ces découvertes, et ça me fait aimer encore plus chacun de ces objets. Pour les clients, c'est un plus, ça donne une personnalité, une valeur ajoutée à ce qu'ils achètent. Quand je prépare une commande, je glisse toujours une note où je leur donne toutes les informations que j'ai pu trouver. La plupart du temps, c'est un geste qu'ils apprécient beaucoup, surtout si la commande est un cadeau. Je suis toujours très touchée que des clients m'écrivent pour m'expliquer pourquoi ils ont choisi un de mes objets, parce qu'ils ont souvent une histoire personnelle à raconter.

Photographie : Alva Mac Gowan

Boutique Copenhagen Collected

Et vous, quelle place donnez-vous au développement durable dans votre petite entreprise ? Racontez-nous dans les commentaires.

Avatar image for Katy Svehaug Texte de Katy Svehaug

Katy Svehaug est responsable senior de la stratégie de contenu chez Etsy.

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